Explications sur l’Assurance plaisance
Qu'en est-il de l'assurance plaisance ?
Pour la plupart des propriétaires de bateaux, le début de la saison se décale actuellement vers une période indéfinie. Mais même si cette année le bateau peut rester à terre plus longtemps que prévu, il est toujours intéressant de jeter un coup d'œil aux documents d'assurance. Quoi qu'il en soit, les bateaux et les yachts sont exposés à des risques même s'ils ne remplissent pas leur fonction. Les réclamations en responsabilité civile doivent également toujours être prises en compte lors de la planification des prochains mois.
Mais comment reconnaître une bonne police d'assurance, contre quoi peut-on s'assurer et que faut-il prendre en compte lors de la conclusion d'un contrat d'assurance plaisance ? Pantaenius est le numéro ""1"" européen en assurances plaisance depuis 50 ans. Plus de 100 000 propriétaires font déjà confiance à notre Société.
Dans les prochains jours, vous découvrirez ici ce à quoi chaque skipper doit faire attention lorsqu'il choisit la bonne assurance pour son bateau.
Ne naviguez jamais sans elle
Assurance responsabilité civile 1 de 2
Aujourd'hui, le marché de l'assurance plaisance offre une multitude de couvertures possibles. Un intermédiaire réputé comme Pantaenius aide à déterminer les besoins individuels. L'assurance dite ""responsabilité civile du bateau"" doit néanmoins faire partie de l'équipement standard absolu à bord. Même si la responsabilité du bateau n'est pas obligatoire dans certains pays, les propriétaires de bateaux sont responsables avec l'ensemble de leurs biens des dommages qu'ils causent à un tiers lors de l'utilisation de leur bateau.
Ces réclamations en responsabilité peuvent découler de divers scénarios, mais elles ne sont pas couvertes par une assurance responsabilité civile vie privée. Une assurance responsabilité civile séparée pour le bateau est donc indispensable et recommandée à chaque propriétaire, quelle que soit la valeur du bateau.
Assurance responsabilité civile 2 de 2
Lorsqu'on choisit la bonne assurance responsabilité civile, les conditions d'assurance peuvent varier considérablement. Rare sont les personnes voulant lirer les conditions d'assurance en petits caractères, mais vous devez absolument vérifier certains détails : par exemple, si la police couvre entièrement les réclamations de l'équipage et des invités, y compris les réclamations entre eux.
Mais aussi, l'utilisation des équipements de sports nautiques et les dommages aux biens loués doivent être assurés, de même que l'assurance responsabilité civile du capitaine/skipper. Étant donné que chaque pays a des exigences différentes en ce qui concerne les montants minimums de couverture d'une assurance responsabilité civile plaisance, il convient également d'en tenir compte au moment de prendre une décision. En Italie, par exemple, les montants minimums de couverture sont plus élevés qu'en Allemagne.
Plus qu'un simple atout
L'assurance Pertes et Avaries 1 sur 3
Outre l'assurance responsabilité civile, il vaut la peine de souscrire une assurance pertes et avaries dans presque tous les cas. Celle-ci couvre les dommages au bateau lui-même et aussi, selon la qualité des conditions d'assurance, les frais de sauvetage, d'inspection ou les effets personnels.
Il peut également être nécessaire d'assurer les dériveurs, les remorques associées de façon permanente ou sur un ber. Tous les prestataires n'offrent pas cette option sans frais supplémentaires. Le risque de stockage hivernal, les transports ou les séjours en chantier et en entrepôt ainsi que la traversée occasionnelle de la zone de navigation actuelle doivent également être assurés de base dans une bonne police d'assurance.
L'assurance Pertes et Avaries 2 sur 3
Pantaenius propose de garantir les bateaux et yachts sur la base d'une couverture tous risques et propose également une valeur d'assurance agréée. En cas de perte totale, cette valeur vous sera intégralement remboursée. Cette valeur agréee ne peut être contestée, car elle est formulée comme une assurance sans dépréciation de la valeur du navire.
Lors de la souscription d'une assurance pertes et avaries, il est important de bien comprendre les conditions d'assurance et le type d'indemnisation lorsqu'il s'agit d'un dommage partiel et d'une perte totale du navire. Les dommages partiels doivent être réglés de manière à ce que l'indemnisation soit traitée sans déduction pour vétusté, jusqu'à concurrence de la somme assurée agréée.
L'assurance Pertes et Avaries 3 sur 3
De nombreux acteurs du marché assurentiel font de la publicité avec des conditions qui promettent d'être basées sur une véritable valeur agréée, mais les propriétaires devraient particulièrement se méfier des assurances bateaux supposées bon marché.
Comme c'est souvent le cas, le diable est dans les détails et certains prestataires limitent la durée de la valeur agréée ou travaillent avec des sommes assurées qui ne sont pas clairement basées sur la valeur de remise en état.
Face à la volatilité du marché des bateaux, une dépréciation de la valeur assurée en cas de perte totale peut entraîner une perte financière considérable, surtout pour les bateaux relativement neufs. Dans ce cas, l'assurance ne devrait donc pas tenir compte de la valeur vénale fréquemment indemnisée en cas de perte totale et permettre ainsi au propriétaire d'acheter un nouveau bateau équivalent.
Petits caractères et autres pièges
Observez les exclusions et les petits caractères ! Lorsqu'il s'agit d'exclusions, les propriétaires de bateaux doivent y prêter une attention particulière. Un exemple : La corosion ou l'usure normale sont généralement exclues de la couverture d'assurance. Mais qu'en est-il des dommages indirects ? Si le mât se brise à cause d'un vieux gréement, alors le bris du mât est un dommage consécutif. De nombreuses polices d'assurance ne couvrent pas ce type de dommage.
En outre, une franchise est généralement appliquée en cas de sinistre. Lorsque vous examinez les conditions, vous devez donc faire attention à savoir si et quand l'assureur fait des exceptions et renonce à appliquer la franchise.
Soyez conscient de vos obligations
Toute personne qui signe un contrat d'assurance s'engage à respecter certaines règles de conduite en cas de sinistre. Les deux plus importantes : l'obligation de déclaration immédiate et de prendre les mesures nécessaires pour limiter les dommages.
De nombreux assurés ne déclarent pas immédiatement un sinistre à leur compagnie d'assurance. Exemple pratique : Un client déclare un sinistre suite à un talonnage. L'expert constate également un dommage dû à un échouage antérieur que le propriétaire a jugé trop mineur pour le signaler. Il faut maintenant calculer quels dommages sont anciens et quels dommages sont nouveaux. Il n'est pas toujours évident de déterminer si un dommage est grave ou comment éviter les dommages indirects. C'est pourquoi vous devez toujours immédiatement contacter la compagnie d'assurance. Ne rien faire est la pire décision possible.
Ne pas construire un château de sable
Ce qu'un assureur peut réellement faire n'est malheureusement révélé que lorsqu'il est peut-être déjà trop tard. Toutes les compagnies d'assurance ne sont pas réellement disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 en cas de sinistre ou ne connaissent pas les spécificités locales.
Sans une infrastructure appropriée dans le domaine du traitement des sinistres, la moindre réparation devient un test de patience pour le client. Si, par exemple, le service de gestion des sinistres est sous-traité à un tiers, les assurés potentiels doivent être vigilants. La dernière chose que les navigateurs veulent vivre en cas de sinistre, est un appel téléphonique à un centre d'appel surchargé.
Pantaenius, par exemple, entretient un réseau de plus de 35 000 contacts pour protéger ses clients, qui peuvent apporter leur aide en cas d'urgence, même dans les zones de navigation les plus reculées. Le service interne de gestion des sinistres fonctionne 365 jours par an et est disponible 24 heures sur 24.
La communication est la clé du succès
Même après la conclusion du contrat, le client est tenu de notifier les changements qui ont une influence sur l'évaluation des risques à assurer. Dans le cas contraire, cela peut avoir un effet négatif sur la couverture d'assurance. Inversement, l'intermédiaire en assurance doit conseiller le client de manière globale sur la base de ces informations.
Cette obligation de conseil est même prescrite par la loi afin de protéger le consommateur. En cas de doute, le fournisseur d'assurance doit prouver qu'il a attiré l'attention du client sur un risque, mais qu'il n'a pas expressément souhaité assurer ce risque.